citation of basionyms

Jacques Melot melot at ITN.IS
Wed Nov 11 01:45:04 CST 1998


=A0Le 11/11/98, =E0 0:43 +0100, nous recevions de JOSEPH E. LAFERRIERE :

>I thank Jacques Melot for the best chuckle I have had all day.
>For those of you who do not read French, he said that
>it does not matter what the correct answer to my query
>is, because even if you pick the wrong answer, the
>recombination is still valid anyway. True, but, ideally,
>a correct answer should exist.
>
>--
>Dr. Joseph E. Laferriere
>"Computito ergo sum ...  I link therefore I am."



[Version ASCII, une version integre est donnee a la suite:]

   Chuckle again and again (soon turning into hiccoughs!)...

   Il suffit de prendre une bonne loupe (eventuellement de l'aspirine
aussi) et de lire la Note 1 de l'Art. 33.

   Exemple (reel) :

M. Moser, Die Gattung Phlegmacium. J. Klinkhardt. Bad Heilbrunn. 1961 ("1=
960").
   Les diagnoses sont toutes a la fin de l'ouvrage (p. 349-362), aber das
spielt uberhaupt keine Rolle! En effet, sous le nom Phlegmacium platypum
Mos., Moser donne, p. 184, une description complete en allemand et, p. 35=
2,
une diagnose latine sous le meme nom (Phlegmacium platypum Mos. sp. nov.).
   La partie imprimee (en allemand) p. 184 seule ne suffirait pas a valid=
er
le nom.
   La partie imprimee (en latin) p. 352 suffirait a valider le nom.
   Une citation sans erreur satisfaisant les conditions de l'Art. 33.2 es=
t
donc :
Basion. Phlegmacium platypum Mos., in Moser, Gatt. Phlegm., p. 352. 1961.

   Le protologue du nom Phlegmacium platypum Mos. inclut le texte latin d=
e
la p. 352, le texte allemand de la p. 184 et meme d'autres additions
d'informations p. 180 (cle en allemand) et p. 396 (cle en francais).

   Le procede qui consiste a separer les diagnoses des textes descriptifs
est frequent en mycologie. Voyez l'exemple fournit par Andreas Gminder.

   Amicalelly,

   Jacques Melot, Reykjavik

N.B.   Existe-t-il vraiment des naturalistes qui ne lisent pas le francai=
s
? Il faudrait vraiment etre mesquin pour voir une difference entre le
francais et l'anglais : c'est pratiquement le meme dialecte. Hvadh um
islenskuna thao ?

=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=
=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D=3D

[Version int=E8gre :]

   Chuckle again and again (soon turning into hiccoughs!)...

   Il suffit de prendre une bonne loupe (=E9ventuellement de l'aspirine
aussi) et de lire la Note 1 de l'Art. 33.

   Exemple (r=E9el)=A0:

M. Moser, Die Gattung Phlegmacium. J. Klinkhardt. Bad Heilbrunn. 1961 ("1=
960").
   Les diagnoses sont toutes =E0 la fin de l'ouvrage (p. 349-362), aber d=
as
spielt =FCberhaupt keine Rolle! En effet, sous le nom Phlegmacium platypu=
m
Mos., Moser donne, p. 184, une description compl=E8te en allemand et, p. =
352,
une diagnose latine sous le m=EAme nom (Phlegmacium platypum Mos. sp. nov=
.).
   La partie imprim=E9e (en allemand) p. 184 seule ne suffirait pas =E0 v=
alider
le nom.
   La partie imprim=E9e (en latin) p. 352 suffirait =E0 valider le nom.
   Une citation sans erreur satisfaisant les conditions de l'Art. 33.2 es=
t
donc=A0:
Basion. Phlegmacium platypum Mos., in Moser, Gatt. Phlegm., p. 352. 1961.

   Le protologue du nom Phlegmacium platypum Mos. inclut le texte latin d=
e
la p. 352, le texte allemand de la p. 184 et m=EAme d'autres additions
d'informations p. 180 (cl=E9 en allemand) et p. 396 (cl=E9 en fran=E7ais).

   Le proc=E9d=E9 qui consiste =E0 s=E9parer les diagnoses des textes des=
criptifs
est fr=E9quent en mycologie. Voyez l'exemple fournit par Andreas Gminder.

   Amicalelly,

   Jacques Melot, Reykjav=EDk

N.B.   Existe-t-il vraiment des naturalistes qui ne lisent pas le
fran=E7ais=A0? Il faudrait vraiment =EAtre mesquin pour voir une diff=E9r=
ence entre
le fran=E7ais et l'anglais=A0: c'est pratiquement le m=EAme dialecte. Hva=
=F0 um
=EDslenskuna =FE=E1=A0?




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